Les truands se cachent derrière un sourire de vitrine
Pour vomir leur ignominie assassine
Sang vineux à la bouche barbare
Cent pieux à la fourche, bâtards!
Les mantes religieuses se pavanent au festin du Roi
Pour se nourrir le cœur froid d’effroi
Sans humanité, traitée dans l’absence
Sens dirigés digérés dans l’abondance
Les pieuvres se congratulent derrière leur maillage conglutineux
Mais se vautrent les neurones fatigués
Dans leur case vide d’humanité
Sans conscience, leurs rires épineux
Les petits Malins, main dans la main, se goinfrent comme des porcs
Et multiplient leurs errances incommensurables
Dans leurs duperies misérables et exécrables
Sans visages, leurs crimes en ressort
Sangs en main, leur impunité s’écrasera
Dans la cuvette infecte des World Companies… comme des rats
Emorizo
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Eh ben dites donc! Il faut pas l’énerver, Emorizo 😉
Je recommence à suivre le blog. Je ne m’étais pas désabonné mais étrangement je l’étais pourtant…
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Bonsoir Sylvain,
Merci pour votre mot!
Je ne pensais pas autant toucher du vif avec mes mots 🙂
Et puis merci pour votre fidélité. Mes mots ne vous ont pas fait si peur, tant mieux 😉
Belle soirée
Emorizo
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