Pensée éphémère # 3

Amis Voyageurs de la « sphère numérique »…, il est un délice de vous servir (sur un plat) un tas de vieux vêtements littéraires qui habite mon écriture… Je suis l’amant de mon inspiration. Quand elle se dévoile, peu importe le chemin emprunté et la voie où celle-ci nous mènera. Elle est ce délicieux cadeau qui chaque jour me surprend. Tantôt la poésie ou un brin de philosophie légère, tantôt des récits imaginaires. Autant de chemins multiples pour finalement explorer les différentes facettes de cet art ô combien difficile qu’est l’écriture. Autant de couleurs de mon âme (bonnes ou moins bonnes) qui maquillent mes idées…

La délicatesse des mots est cette liberté que j’entretiens avec eux. Ces mêmes mots qui racontent une histoire ou qui partage un témoignage de ces temps que je vis ou nous vivons.

Je tente par mes mots d’explorer le regard intérieur de mon âme, de mes interrogations, de mes fuites. Parfois, il s’agit juste d’un monde imaginaire ou d’un regard sur l’extérieur.

Chacune de mes inspirations est une graine qui mûrit. J’écris avant tout pour peindre avec plaisir les moindres soupçons d’inspirations naissantes qui jalonnent mon blog.

Il me vient une pensée:  » L’encre diluée dans un grand verre d’eau ne vaut guère mieux une encre pure, limpide et de caractère. »

Je peux parfois paraître déroutant tant mes billets sont imprévisibles au premier regard.

Bien sûr, je lis de temps en temps les billets dans la « sphère numérique » sans chercher à plaire à quiconque, mais bien parce que je suis un brin curieux. Et, c’est fort plaisant…

Merci de votre passage, au temps je ne compte. Une seconde, une minute ou bien plus. Peu importe, vous êtes les bienvenus…

Emorizo, alias F. Ménez

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